Déjà 7 ans que le Pitchfork Festival investit la Grande Halle de la Villette à Paris. Et pour cette nouvelle édition, le webzine nous proposait une programmation de grande envergure : de Rone à The Blaze, Monsieur-Robs raconte l’événement.
Plusieurs dizaines d’artistes à découvrir, un lieu, la Grande Halle de la Villette, rendue unique pour cette septième édition, l’occasion donc de revenir sur les 7 trucs (du plus cool au encore plus cool) qui nous donnent envie d’y retourner l’an prochain :
NUMÉRO 7. Être bizarre comme Jacques
Jacques, nous l’aimons beaucoup. Sur scène, le jeune weirdo-genius au crâne partiellement rasé s’accompagne de boîtes à rythmes en tout genre, d’un ventilateur et de plusieurs autres accessoires étranges - pour des performances toujours aussi uniques. Même si le live sera ce soir-là tombera un peu à plat, il reste l’un de nos chouchous.
NUMÉRO 6. Croiser Killason aux toilettes
“Croiser Killason aux toilettes” n’est pas le nom d’une performance artistique originale, mais bien le plaisir de croiser le jeune rappeur au festival. Pas de show ce soir-là, juste un moment d’échange décalé qui nous rappelle sa jolie performance au MaMA festival tout récemment.
NUMÉRO 5. Vibrer sur Bicep
Imaginez un samedi soir, vers 00h50. Vous venez de vivre plusieurs moments musicaux magiques et Bicep entre en scène.Le duo d’anglais livre quelque chose de magistral : un set sombre et lumineux, aux inspirations house - avec du synthé à revendre - qui ne peut que faire danser. On n’écoute leur premier opus en boucle depuis.
NUMÉRO 4. Rone
C’était à Rock en Seine il y a quelques mois que nous avions découvert sur scène le producteur et DJ. Une performance efficace que l’artiste renouvelle à Pitchfork : près d’une heure de set planant ou les lumières ne font qu’accentuer notre plaisir.
NUMÉRO 3. Passer s’amuser au Greenroom Village
Pitchfork, c’est la musique, mais pas que ! Greenroom, partenaire de l’événement, proposait cette année un mini-village adorable et cool : des balançoires, un blind-test avec Radio Nova ou encore un Photocool animé - une réalisation des Vandales - qui plaira beaucoup au public. La preuve ici !
NUMERO 2. Loyle Carner
De Pitchfork Avant-Garde à Pitchfork Festival, il n’y a qu’un pas. Et le bel anglais vient de le franchir. Nous l’avions découvert au Café de la Danse l’an dernier, nous étions déjà alors conquis par son flow efficace, son accent british et ses productions chill. Même rengaine ce samedi ou l’artiste est très attendu par le public : globalement, une performance parfaite.
NUMERO 1. The Blaze
À cet instant, nous sommes au paradis. Pour leur second passage à Paris, il était impensable de manquer le duo dont l’album a bercé notre année. Tous droits sortis d’un cube lumineux géant, les français livrent la performance de ce festival. Les morceaux prennent une ampleur tout à fait différente en live : les beats sont différents, les voix sont vibrantes - et nous danserons sans un seul arrêt jusqu’à la fin du set.
C’est avec l’aide de nos copains malins de LyfPay, l’application trop cool de paiement mobile des festivals que nous avons pu profité de l’évènement, le jeudi et le samedi.
C’était une première pour Monsieur-Robs, mais probablement pas la dernière ! La programmation se démarque clairement des festivals de la capitale, le lieu se transforme un véritable moment de vie et le public semble plus motivé que jamais.
Pitchfork, see you soon !
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