Déjà trois ans que les Nuits Claires illuminent le Yoyo de sa programmation éclectique et de son ambiance folle. Casse Bon Bon n’avait jamais manqué l’occasion et s’est donc retrouvé, une nouvelle fois, embarqué dans le festival. Retour, avec Monsieur-Robs sur le samedi le plus fou du mois de mars.
A l’année prochaine, belles Nuits Claires.
Déjà 22h quand nous arrivons dans les sous-sols du Palais de Tokyo, l’occasion de se voir offrir une jolie pochettes “Les petites…” (décidément, on ne pense pas aux hommes à cet événement) et de découvrir Dagga Domes sur scène.Le trio venu tout droit d’Oxford propose un son mêlant rythmes électroniques très 90’s à la voix douce & pop du chanteur.
Mais c’est à l’arrivée de Broken Back que le public semble prendre de l’ampleur et que l’ambiance monte.Le jeune breton, propulsé aujourd’hui superstar internationale, va ravir le public pendant presque une heure. Nous l’avions déjà vu au festival Solidays et à une Creative Live Session également au Yoyo, et le moins qu’on puisse dire, c’est que son énergie est toujours aussi communicative. L’indie-électro-folk ultra populaire de l’artiste est certes plutôt répétitive mais fait bouger la tête et les épaules.
La véritable sensation de cette belle soirée se profile alors un peu avant 00h00. Nous l’avions découvert, sur Youtube, avec “Let a B!tch Know”, un hymne hommage à l’électro queer des années 80 et au voguing. J’ai nommé : KIDDY SMILE. Le jeune homme proposait pour l’occasion un dj set inspirant et dansant, s’accompagnant, sur scène, de plusieurs danseuses et danseurs de voguing. Ils inspireront d’ailleurs toute l’assemblée qui semble vouloir se lâcher pendant toute la durée du set. Ce sera notre cas !. D’ailleurs, Kiddy Smile n’hésite pas à glisser quelques sons mythiques de la pop et du r’n’b pour nous combler et le tour est joué : deux heures de bonheur !
La clope au bec, les copains de The Shoes entrent en scène. Nous avions l’habitude de les voir en concert mais c’est un DJ set d’un peu plus d’une heure que le duo va proposer ce soir-là au Yoyo. Plutôt éloigné de l’univers électro-pop-rock qu’on leur connaît, le dj set est plutôt agressif, proche de la transe mais pour autant plutôt efficace. Peut-être parce qu’il est déjà tard ou que la cible n’était pas la bonne, le public semble cependant moins engagé par le duo que par les prestations précédentes. De notre côté, un changement d’heure plus tard, nous terminerons notre soirée avec ce set.
A l’année prochaine, belles Nuits Claires.
Monsieur-Robs
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