[REPORT] Peacock Society

PEACOCK SOCIETY, le 30 janvier 2016 @ Parc Floral de Vincennes

C’était l’un des évènements électroniques de ce début d’année. La société du paon reprenait du service ce 30 janvier pour une édition complètement folle au Parc Floral, à Vincennes. Cinquante minutes de trajet plus tard, Monsieur-Robs y arrive.


Crédit photos : © Yulya Shadrinsky 


Le Cashless, c’est stressful
Arrivé avec ma fine équipe sur les coups de minuit et demi, le bonheur d’entrer en quelques minutes s’efface quelque peu lorsque nous découvrons la queue pour récupérer une clé de casier, et une encore plus longue pour récupérer sa carte cashless. Abandon. Le manteau « stylistiquement » enroulé autour de la taille, nous débutons alors la soirée. Non contents d’être bénéficiaires d’entrée VIP (Merci Adidas !), nous décidons alors de tester ce fameux carré si convoité…qui n’offre finalement que le bonheur de pouvoir payer en cash.

Le paon fait la roue
Retour au centre de la fête, dans le hangar numéro 1. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la Peacock Society donne dans le grand spectacle ! Évidemment, le son est très bon, mais visuellement, c’est également très efficace. Les jeux de lumière sont à couper le souffle. Nous rentrons alors un peu plus dans la foule et une seule chose sur les visages des gens : un grand sourire ! 

Quelques pas de danse et beaucoup de transpiration plus tard, je me décide à grappiller un peu d’air. Je croise inévitablement le stand-photo. Seul et légèrement éméché, j’ai alors la bonne idée de faire des photos avec des inconnus, le rendu est, je vous l’assure, charmant. Je découvre alors également que des bains chauds ont été installés pour les plus téméraires. On croise alors deux trois éphèbes se trimballer en maillot de bain et serviette, le stand sponsorisé par Skoll semble faire mouche puisqu’il est rempli.

Début de journée, fin de soirée…

Aux alentours de sept heures du matin, le son commence à diminuer et les premières protestations se font entendre. Une pulsation électronique de quelques minutes donne l’espoir aux mélomanes que la soirée pourrait continuer mais le son finit par définitivement s’arrêter. Avec mes 8 acolytes du week-end, nous arriverons à grimper dans l’une des premières navettes, croisant les regards zombiesques de nos pairs, pour rentrer danser dans nos rêves.


Monsieur-Robs

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