Arrivée vers minuit, beaucoup de monde devant les escaliers, c'est l'effervescence. Peu de temps d'attente pour l'entrée, one point, mais une fois arrivés à l'intérieur, même scène que d'habitude : une foule incroyablement désorganisée pour les vestiaires, l'heure est venue de se battre. La faute à l'incivilité ou au manque d'ingéniosité des organisateurs; je ne trancherai pas.
La soirée commence donc vers une heure, la musique évolue petit à petit, une house plutôt tapante finit par combler nos oreilles le temps de quelques morceaux éparpillés. Le duo de Dj berlinois Zander vt, du label Bpitch Control, nous a fait quelques bons enchaînements, mais il s'agissait plus d'un tour en montagnes russes qu'un set réussi. Un tour au fumoir nous a fait nous rendre compte que nous étions effectivement dans un parc d'attractions, le club ressemblait à Disneyland au mois de mai un dimanche. Constatation un peu alarmante, tous les couloirs de passages étaient surchargés, presque impossible de faire deux pas de suite. La capacité maximale a t-elle été dépassée ? Bref, un peu inquiétant en cas d'incident.
Trois heures du matin, Fritz Kalkbrenner arrive aux platines. Une rumeur dans la foule, l'excitation... Qui retombe comme un soufflet. Les morceaux sont toujours aussi inadaptés aux clubs (cf "I love Techno 2011"), l'hybridation des genres l'a amené sur la grande voie de la "house d'ascenceur". Pas de mélodie non plus à défaut d'avoir du rythme et du caractère, un set très vide qui ne m'a laissé absolument aucun souvenir, pas même d'une seule note. Une électro dénuée de ressenti en somme. L'ambiance, qui malgré le monde, était plutôt festive est vite redescendue, la salle s'est vidée vers les quatre heures du matin, alors que le fameux Fritz jouait jusqu'à cinq heures. Fritz serait donc un imposteur qui surferait sur le célèbre talent de son frère Paul ? Encore une fois je ne trancherai pas, un morceau tel que "King in Exile" révèle tout son potentiel... qui reste encore inexploité.
A.D
La soirée commence donc vers une heure, la musique évolue petit à petit, une house plutôt tapante finit par combler nos oreilles le temps de quelques morceaux éparpillés. Le duo de Dj berlinois Zander vt, du label Bpitch Control, nous a fait quelques bons enchaînements, mais il s'agissait plus d'un tour en montagnes russes qu'un set réussi. Un tour au fumoir nous a fait nous rendre compte que nous étions effectivement dans un parc d'attractions, le club ressemblait à Disneyland au mois de mai un dimanche. Constatation un peu alarmante, tous les couloirs de passages étaient surchargés, presque impossible de faire deux pas de suite. La capacité maximale a t-elle été dépassée ? Bref, un peu inquiétant en cas d'incident.
Trois heures du matin, Fritz Kalkbrenner arrive aux platines. Une rumeur dans la foule, l'excitation... Qui retombe comme un soufflet. Les morceaux sont toujours aussi inadaptés aux clubs (cf "I love Techno 2011"), l'hybridation des genres l'a amené sur la grande voie de la "house d'ascenceur". Pas de mélodie non plus à défaut d'avoir du rythme et du caractère, un set très vide qui ne m'a laissé absolument aucun souvenir, pas même d'une seule note. Une électro dénuée de ressenti en somme. L'ambiance, qui malgré le monde, était plutôt festive est vite redescendue, la salle s'est vidée vers les quatre heures du matin, alors que le fameux Fritz jouait jusqu'à cinq heures. Fritz serait donc un imposteur qui surferait sur le célèbre talent de son frère Paul ? Encore une fois je ne trancherai pas, un morceau tel que "King in Exile" révèle tout son potentiel... qui reste encore inexploité.
A.D
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