7ème édition des Aventuriers pour 2011. Amour, santé, richesse dont-on lui souhaiter? Santé, ça à l'air pas mal pour un festival qui s'adapte aux tendances musicales en restant tout de même un minimum "pointu" dans sa programmation et de plus faire bouger une ville du 94, que demander de plus ? La richesse peut-être mais LES AVENTURIERS arrivent tout de même à survivre et à nous offrir des shows variés, formidables, étonnants, drôles et plus que satisfaisants avec une équipe souriante, performante (arrêtons dans la lèche'bottitude).
Bon, autant vous avouer tout de suite que je "travaillais" pour ce festival, en tant que bénévole comme l'année précédente, nous sommes tout de même quatre, à ma connaissance, à avoir réitérer la demande pour y participer de nouveau et de plus, deux personnes de notre entourage nous ont rejoint. Comme quoi, ou nous sommes bons en com' ou le festival vaut le coup, coupons la poire en deux.
Monter un festival, il n'y a pas plus belle ambition à mon goût car créer, approvisionner, développer et bien sûr diffuser c'est toujours enrichissant aussi professionnellement que personnellement. Pour le moment, dans ma toute petite expérience en festival, mon travail fut de diffuser le festival, le mettre en place ou de créer des souvenirs (en gros, je faisais des photos, interview, annonce etc... de chaque représentation). Pour le cas des aventuriers, mon "travail" était de flyer (trackter/distribuer des affichettes miniatures) en amont du festival afin de faire la promotion des différents évènements. Il fallait tout d'abord cibler le concert pour ensuite inciter le public à s'y rendre (pour "TOXIC AVENGER", nous n'allions pas distribuer des fly à la sortie d'un concert de Gilbert Montagné par exemple). Par la suite, en tant que bénévole, nous devions choisir deux à trois dates sur la durée du festival pour aider à l'organisation du lieu, de l'accueil du public, comme faire le vestiaire, la webradio, le parking (dans le froid-autant préciser-diriger les voitures festivalières vers un parking), rien de bien folichon cela va de soit, mais il est toujours intéressant de voir le planning, le rôle de chacun : la responsable du catering (lieu de restauration de l'équipe et des artistes), de la déco des loges, de l'accueil de la presse, du management des bénévoles, stagiaires et j'en passe et surtout de faire partie intégrante d'un évènement où nous allons généralement pour banqueter.
Mon premier soir de "boulot" était celui de Yo ! Majesty (dont on vous a parlé un peu plus bas dans le blog), ce duo de rappeuse américaine qui envoie du lourd avec un putain (désolé mais je ne vois pas d'autre mot là) de flow et FUMUJ, groupe d'electro-hip hop-rock et dédié aux sourds et malentendants comme l'indique leur bio. Et puis, rajoutons le, dans une salle telle que l'espace Gérard-Philippe, l'accessibilité aux artistes est plus que possible, nous pouvons voir le guitariste au bar et plus tard Shunda K se diriger vers les toilettes en l'espace de quelques minutes, l'échange est possible et cela CBB aime !
18h : Armé de mon badge, histoire de montrer au public entier qu'on peut nous poser toutes les questions possible au sujet du festival dans les limites de stock-réponse disponible, nous décorons la loge avec des affiches de Corleone et Toxic Avenger avant l'arrivée des artistes.
18h30 : Une pause plus tard, il est temps de manger en la compagnie de l'équipe, une salade et des haricots verts.
19h : Gros manteau, doudoune et Leff cachée, nous voilà à l'entrée de la rue de l'espace Gérard Philippe (ou GP, comme ils aiment l'appeler) pour diriger les voitures vers la bonne rue et le bon parking par la même occasion.
20h-23h : ÉNORME PAUSE, qui me permis de voir les concerts, boire quelque chose de bio (Eh ouais, ils sont ECO CUP en plus) et discuter avec le public et l'équipe de façon décontractée
23h30 : Départ de la navette, fin des concerts, du bar... On remet le vestiaire en place, les différents stands préventifs et promotionnels, la revue de presse
Mon prochain soir sera dans une salle beaucoup plus grande donc avec plus de boulot j'imagine et un tout autre aspect que celui-ci, vous retrouvez mon "rapport" la semaine prochaine et en attendant, je vous propose de jeter un oeil en cliquant juste ici pour découvrir la suite des festivités proposées par le festival.
F.P
Bon, autant vous avouer tout de suite que je "travaillais" pour ce festival, en tant que bénévole comme l'année précédente, nous sommes tout de même quatre, à ma connaissance, à avoir réitérer la demande pour y participer de nouveau et de plus, deux personnes de notre entourage nous ont rejoint. Comme quoi, ou nous sommes bons en com' ou le festival vaut le coup, coupons la poire en deux.
Monter un festival, il n'y a pas plus belle ambition à mon goût car créer, approvisionner, développer et bien sûr diffuser c'est toujours enrichissant aussi professionnellement que personnellement. Pour le moment, dans ma toute petite expérience en festival, mon travail fut de diffuser le festival, le mettre en place ou de créer des souvenirs (en gros, je faisais des photos, interview, annonce etc... de chaque représentation). Pour le cas des aventuriers, mon "travail" était de flyer (trackter/distribuer des affichettes miniatures) en amont du festival afin de faire la promotion des différents évènements. Il fallait tout d'abord cibler le concert pour ensuite inciter le public à s'y rendre (pour "TOXIC AVENGER", nous n'allions pas distribuer des fly à la sortie d'un concert de Gilbert Montagné par exemple). Par la suite, en tant que bénévole, nous devions choisir deux à trois dates sur la durée du festival pour aider à l'organisation du lieu, de l'accueil du public, comme faire le vestiaire, la webradio, le parking (dans le froid-autant préciser-diriger les voitures festivalières vers un parking), rien de bien folichon cela va de soit, mais il est toujours intéressant de voir le planning, le rôle de chacun : la responsable du catering (lieu de restauration de l'équipe et des artistes), de la déco des loges, de l'accueil de la presse, du management des bénévoles, stagiaires et j'en passe et surtout de faire partie intégrante d'un évènement où nous allons généralement pour banqueter.
Mon premier soir de "boulot" était celui de Yo ! Majesty (dont on vous a parlé un peu plus bas dans le blog), ce duo de rappeuse américaine qui envoie du lourd avec un putain (désolé mais je ne vois pas d'autre mot là) de flow et FUMUJ, groupe d'electro-hip hop-rock et dédié aux sourds et malentendants comme l'indique leur bio. Et puis, rajoutons le, dans une salle telle que l'espace Gérard-Philippe, l'accessibilité aux artistes est plus que possible, nous pouvons voir le guitariste au bar et plus tard Shunda K se diriger vers les toilettes en l'espace de quelques minutes, l'échange est possible et cela CBB aime !
18h : Armé de mon badge, histoire de montrer au public entier qu'on peut nous poser toutes les questions possible au sujet du festival dans les limites de stock-réponse disponible, nous décorons la loge avec des affiches de Corleone et Toxic Avenger avant l'arrivée des artistes.
18h30 : Une pause plus tard, il est temps de manger en la compagnie de l'équipe, une salade et des haricots verts.
19h : Gros manteau, doudoune et Leff cachée, nous voilà à l'entrée de la rue de l'espace Gérard Philippe (ou GP, comme ils aiment l'appeler) pour diriger les voitures vers la bonne rue et le bon parking par la même occasion.
20h-23h : ÉNORME PAUSE, qui me permis de voir les concerts, boire quelque chose de bio (Eh ouais, ils sont ECO CUP en plus) et discuter avec le public et l'équipe de façon décontractée
23h30 : Départ de la navette, fin des concerts, du bar... On remet le vestiaire en place, les différents stands préventifs et promotionnels, la revue de presse
Mon prochain soir sera dans une salle beaucoup plus grande donc avec plus de boulot j'imagine et un tout autre aspect que celui-ci, vous retrouvez mon "rapport" la semaine prochaine et en attendant, je vous propose de jeter un oeil en cliquant juste ici pour découvrir la suite des festivités proposées par le festival.
F.P
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