Voilà, 2018 touche à sa fin. Cette année fut encore riche en musique ! Pour faire le tri dans toutes ces nouveautés, CBB vous a concocté son top 10 des albums de l’année 2018.
Merci Flavien Berger. Un nouveau voyage s’est invité dans nos oreilles avec cette épopée cosmique de douze titres. Abstrait, expérimental, singulier : voici les adjectifs qui viennent en tête lors de la première - la seconde et la troisième - écoute.
Mark Everett - la tête pensant de Eels depuis plusieurs décennies - aurait dû nommer ce nouvel album construction ou reconstruction tant ces dernières années ont été des épisodes de renaissance pour cet homme torturé. Avec The Construction, Eels est dans la continuité tout en offrant un renouveau avec des titres aux textes à la fois drôles et mélancoliques contés par des mélodies rock intimistes.
Non, il ne s’agit pas du gélifiant végétal, mais d’un duo français très prometteur. Après leur EP Cardan sorti en 2016, les deux acolytes tentent l’aventure d’un premier album audacieux. Au revoir les balades pop sur lequel on a envie de se trémousser pour laisser place à des mélodies plus douces et introspectives. Qui ne tente rien n’a rien.
Ce nouvel album de l’explorateur sonore est un de nos coups de cœur de l’année. Au programme un voyage où tous les sens sont sollicités. Romain Delahaye - de son vrai nom - est allé rechercher les sons de la banquise pour les retranscrire en mélodies électroniques. Naturel, saisissant et agressif, ce disque est une aventure. Un conseil : à écouter les yeux clos pour se laisser transporter dans le Grand Nord.
Pour les amateurs de sonorités rugueuses, cet album est une révélation. Dans le monde des critiques musicales, Courntey Barnett a su trouver ses adeptes comme ses détracteurs avec des mélodies tantôt rêches, tourmentées et mélancoliques. Une évidence : cet album ne prendre pas une ride dans une décennie.
Oh ce génie du XXIe siècle ! Jack White a offert cette année un troisième album solo. Ici, il nous livre un de ses disques les plus ambitieux avec des sonorités multiples allant du hip-hop, à la country en passant par le gospel. Chacun des treize titres emmène l’auditeur dans tous les sens grâce à une approche expérimentale des compositions. Un conseil : à écouter dans sa globalité pour mieux saisir la démarche de l’artiste américain.
Et la déception 2018 ? Un seul nous vient en tête : Tranquility Base Hotel and Casino de The Arctic Monkeys que l’on pourrait définir par ennui, ennui et encore ennui.
10 - Nils Frahm - All Melody
Le pianiste surdoué a su se réinventer avec un album où chaque titre renverse nos cœurs tant l’émotion est palpable. L’artiste allemand nous plonge dans un univers ambient où le temps est maître pour laisser à l’auditeur la permission de laisser son esprit survoler son enveloppe charnelle. Et le voyage introspectif ne risque pas de s’arrêter là puisque Nils Frahm a prévu un nouvel EP pour 2019!9 — Angèle — Brol
Comment préparer une rétro 2018 sans évoquer le phénomène Angèle. Sur les murs du métro, à la radio comme sur les plateaux télé, la chanteuse belge a su séduire la France grâce à sa pop acidulée. Cette montée fulgurante a pu être décriée par certains, mais aussi par la principale intéressée dans le titre "Flou". Quoi qu’on en dise, Angèle arrive à émerveiller les grands comme les plus jeunes.
8 — Flavien Berger — Contre-temps
Merci Flavien Berger. Un nouveau voyage s’est invité dans nos oreilles avec cette épopée cosmique de douze titres. Abstrait, expérimental, singulier : voici les adjectifs qui viennent en tête lors de la première - la seconde et la troisième - écoute.7 — Eddy de Pretto — Cure
Le voyage à travers l’hexagone continue avec Eddy de Pretto. Son premier EP avait déjà fait sensation alors l’épreuve de l’album pouvait s’avérer périlleuse, mais le Parisien a su donner de son vécu, de son énergie et de ses tripes pour offrir une série de titres intimes où les sujets de société sont multiples. Difficile de ne pas s’identifier.
6 - Eels - The Deconstruction
Mark Everett - la tête pensant de Eels depuis plusieurs décennies - aurait dû nommer ce nouvel album construction ou reconstruction tant ces dernières années ont été des épisodes de renaissance pour cet homme torturé. Avec The Construction, Eels est dans la continuité tout en offrant un renouveau avec des titres aux textes à la fois drôles et mélancoliques contés par des mélodies rock intimistes.5 — Clara Luciani — Sainte Victoire
Douce voix grave. Certains la connaissent de l’époque La Femme, d’autres l’ont découverte avec son premier album Sainte-Victoire aux allures féministes. L’histoire de la victoire d’une femme sur un chagrin d’amour, l’histoire de la reconstruction d’une femme. Allez vers le meilleur ! Mentions spéciales à "Eddy" et "La Baie" (reprise française de "The Bay" de Metronomy).
4 - Agar Agar - The Dog and the future
Non, il ne s’agit pas du gélifiant végétal, mais d’un duo français très prometteur. Après leur EP Cardan sorti en 2016, les deux acolytes tentent l’aventure d’un premier album audacieux. Au revoir les balades pop sur lequel on a envie de se trémousser pour laisser place à des mélodies plus douces et introspectives. Qui ne tente rien n’a rien.3 - Daniel Avery - Song of Alpha
Après un premier album mettant à l’honneur la techno anglaise des années 90, Daniel Avery change radicalement de cap avec Song of Alpha aux sonorités s’inspirant de l’ambient de Brian Eno. Ici, on retrouve un style plus proche de la post-techno où les beats alternent entre douceur et ferveur. Un disque cohérent qui mérite d’être célébré.
2 — Molecule — - 22,7°C
Ce nouvel album de l’explorateur sonore est un de nos coups de cœur de l’année. Au programme un voyage où tous les sens sont sollicités. Romain Delahaye - de son vrai nom - est allé rechercher les sons de la banquise pour les retranscrire en mélodies électroniques. Naturel, saisissant et agressif, ce disque est une aventure. Un conseil : à écouter les yeux clos pour se laisser transporter dans le Grand Nord.
1 - Courntey Barnett - Tell me how you really feel
Pour les amateurs de sonorités rugueuses, cet album est une révélation. Dans le monde des critiques musicales, Courntey Barnett a su trouver ses adeptes comme ses détracteurs avec des mélodies tantôt rêches, tourmentées et mélancoliques. Une évidence : cet album ne prendre pas une ride dans une décennie.
1 - Ex aequo : Jack White - Boarding House Reach
Oh ce génie du XXIe siècle ! Jack White a offert cette année un troisième album solo. Ici, il nous livre un de ses disques les plus ambitieux avec des sonorités multiples allant du hip-hop, à la country en passant par le gospel. Chacun des treize titres emmène l’auditeur dans tous les sens grâce à une approche expérimentale des compositions. Un conseil : à écouter dans sa globalité pour mieux saisir la démarche de l’artiste américain.Et la déception 2018 ? Un seul nous vient en tête : Tranquility Base Hotel and Casino de The Arctic Monkeys que l’on pourrait définir par ennui, ennui et encore ennui.
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