[Monsieur-Robs] REPORT : Carlsberg's suite w/ Sébastien Tellier

                                                Carlsberg’s suite w/ Sebastien Tellier

Bientôt deux ans que la marque Carlsberg fait danser les français avec ses soirées « Unbottle Yourself ». En 2013, j’avais déjà eu le plaisir d’être invité à l’édition orchestrée par les 2ManyDjs à l’Opéra Garnier. Le lieu mythique, les sets incroyables et le décor léché nous avaient à l’époque déjà bien émoustillés. Qu’en est-il de cette nouvelle édition, cette fois orchestrée par Monsieur Sebastien Tellier à l’Electric ?





Pardon Sébastien. Plutôt que de mentir, @Monsieur_Robs préfère être honnête. Avec mon acolyte de toujours, l’apéritif s’éternisant, nous sommes arrivés aux alentours de 00h30 et nous n’avons pas eu la chance de capter les ondes éclectiques du grand frère spirituel de Sylvie Tellier. Mais on va quand même vous raconter la petite soirée aliénée qu’on a passée.

Ou sommes-nous, Sébastien ? Dès notre arrivée, la traversée d’un couloir aux allures spatiales nous plonge dans le bain. Après avoir récupéré notre bracelet lumineux ultra-swag par des hôtesses sorties du 5e élément, nous entrons dans l’Electric. Le décor lunaire se plante alors devant nous : On croise une fusée à l’effigie de notre hôte barbu, on évite de tomber sur des roches interstellaires, on admire des danseuses phosphorescentes et surtout on n’hésite pas à enchaîner les bières (elles aussi lookées « Tellier » pour l’occasion) que nous proposent les barman-robots moulés dans leur combinaison de l’espace. Le photocall permettra même de marcher sur la lune. C’est ultra-ringard, c’est ultra-too-much, mais c’est surtout ULTRA-COOL !

On écoute quoi ? Pour ceux qui auraient lu mes premiers reports (Lady Gaga, Taylor Swift), vous aurez compris que ma connaissance en pop est plus vaste et maitrisée qu’en musique électronique. Mais, j’ai été très agréablement surpris par les « friends » de Sebastien Tellier. The Magician et Ines Melia (Resident DJ du Silencio) nous ont servis un set dansant, soigné et aussi planant que la soirée en elle-même.  Ma partenaire de crime est toujours alitée pour un trop-plein de folie électronique. Bref, nous avons adoré. N’hésitez pas à écouter l’acidulé «Sunlight » du magicien, on est devenu fan.



Merci Sébastien. Vers les 3h30 du matin, après une dizaine de bières et après avoir rendu hommage à Casse-Bon-Bon dans les toilettes, il était temps pour nous de rentrer sur terre. On ne regrette pas d’avoir traversé toute la ligne 12 pour l’évènement et on dit merci Sébastien, merci Carlsberg et merci (ou plutôt jamais) aux consommations illimitées. Ha et merci aux toulousains qui nous ont payés le taxi du retour. La prochaine Carlsberg, je vous déconseille de la manquer. 


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