Pure United Ravers Energy
Le 13 octobre s'est tenue la très (très) attendue P.U.R.E, le pitch : le Mozinor (Montreuil Zone Industriel Nord), du son techno 90's et des gens de tout âge pour vivre une rave.
On s'attendait à un moment de pure techno, à un sol qui tremblerait sous les basses, on rêvait d'une soirée de liberté, nous les jeunes qui n'avons pas connu les soirées d'il y a 20 ans. Le changement de lieu à 3 jours de l'évènement nous a quelque peu refroidis, une rave dans le palais des Congrès de Montreuil, on aura vu des lieux plus "underground". Mais qu'à cela tienne, une bonne déco, des jeux de lumières, un bon son, et tout aurait pu rouler.
Arrivée dans la salle, après trois contrôles des tickets, une installation de cubes blancs et des ballons smileys au plafond... Une décoration de Débrouï-art et Old School Events qui ne nous plongeait pas vraiment dans l'ambiance et qui n'était pas sans rappeler la soirée We Love du 7 juillet. Certes, argument de choc, le lieu avait été changé à la dernière minute.
Rave, techno, soirée hors club mais peu de liberté. Une horde de vigiles pour traquer la moindre cigarette allumée et nous menacer d'exclusion. La soirée a malheureusement manqué d'un brin de folie et de spontanéité tout comme la musique, le line-up était alléchant, mais à l'écoute c'était un peu les montagnes russes : de très bonnes surprises, beaucoup et d'énergie et la minute d'après un son plat et sans basses.
Finalement, on s'attendait tous à quelque chose de plus original et de plus tapeur, mais la vraie question est pourquoi la préfecture de Seine Saint Denis à t-elle décidé de faire un arrêter à 3 jours de la soirée ? Possibilité de troubles à l'ordre public... Comme quoi, même 20 ans après les mentalités n'ont toujours pas évoluées. On évitera donc les débats stériles qu'il y a entre raveurs, et malgré les déceptions de la soirée (qui ne sont sans doute rien comparées à celles des organisateurs) on ne retiendra que le meilleur. Des gens sont toujours là pour faire vivre rave, techno et ouverture d'esprit.
Et après tout, ce qui compte, c'est la découverte de la musique. Dans les années 90, une rave était une rave, les gens étaient simplement contents d'y avoir participé, pourquoi pas nous en 2012 ?
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Le 13 octobre s'est tenue la très (très) attendue P.U.R.E, le pitch : le Mozinor (Montreuil Zone Industriel Nord), du son techno 90's et des gens de tout âge pour vivre une rave.
On s'attendait à un moment de pure techno, à un sol qui tremblerait sous les basses, on rêvait d'une soirée de liberté, nous les jeunes qui n'avons pas connu les soirées d'il y a 20 ans. Le changement de lieu à 3 jours de l'évènement nous a quelque peu refroidis, une rave dans le palais des Congrès de Montreuil, on aura vu des lieux plus "underground". Mais qu'à cela tienne, une bonne déco, des jeux de lumières, un bon son, et tout aurait pu rouler.
Arrivée dans la salle, après trois contrôles des tickets, une installation de cubes blancs et des ballons smileys au plafond... Une décoration de Débrouï-art et Old School Events qui ne nous plongeait pas vraiment dans l'ambiance et qui n'était pas sans rappeler la soirée We Love du 7 juillet. Certes, argument de choc, le lieu avait été changé à la dernière minute.
Rave, techno, soirée hors club mais peu de liberté. Une horde de vigiles pour traquer la moindre cigarette allumée et nous menacer d'exclusion. La soirée a malheureusement manqué d'un brin de folie et de spontanéité tout comme la musique, le line-up était alléchant, mais à l'écoute c'était un peu les montagnes russes : de très bonnes surprises, beaucoup et d'énergie et la minute d'après un son plat et sans basses.
Finalement, on s'attendait tous à quelque chose de plus original et de plus tapeur, mais la vraie question est pourquoi la préfecture de Seine Saint Denis à t-elle décidé de faire un arrêter à 3 jours de la soirée ? Possibilité de troubles à l'ordre public... Comme quoi, même 20 ans après les mentalités n'ont toujours pas évoluées. On évitera donc les débats stériles qu'il y a entre raveurs, et malgré les déceptions de la soirée (qui ne sont sans doute rien comparées à celles des organisateurs) on ne retiendra que le meilleur. Des gens sont toujours là pour faire vivre rave, techno et ouverture d'esprit.
Et après tout, ce qui compte, c'est la découverte de la musique. Dans les années 90, une rave était une rave, les gens étaient simplement contents d'y avoir participé, pourquoi pas nous en 2012 ?
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